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LA FOI ET LE FEU

Rédigé par le 18 avril 2020

// LA FOI ET LE FEU                     – Par Pierre Mézières

Dans la vie, y’a 2 manières de surmonter des obstacles :

– activer son feu
– déclencher sa foi

Activer son feu : ça donne une force tellement grande, que l’obstacle se transforme en challenge. Et que relever ce challenge non seulement muscle, mais fait grandir.
Il y a une dimension surnaturelle là dedans, mais en apparence plus appréhendable pour l’humain (elle ne l’est pas en vrai, c’est aussi mystérieux que les effets de la foi !)

Déclencher sa foi : ça fait tomber une énergie comme de la lumière, compacte. Énergie qui dissout les obstacles, voir qui s’assure qu’il n’y aura aucun obstacle sur le chemin. Il y a une dimension surnaturelle pour l’humain là dedans.

Certaines personnes connaissent plus l’un que l’autre. Plus le feu que la foi. Ou plus la foi que le feu.
Et durant leur vie il vont potentiellement découvrir l’autre et continuer d’approfondir les 2.

Hé oui ! On est des humains, mais on est aussi en même temps autre chose qui nous dépasse (tu l’appelles comme tu veux : ton âme, ton grand toi, etc.)
La partie humaine n’est pas moins bien que l’autre. L’autre partie n’est pas moins bien que l’humaine.

Exemple de personnes utilisant le feu à haute intensité, sans même le savoir : certains sportifs de haut niveau, entrepreneurs. Rafaël Nadal en est un bon exemple.
Exemple de personnes utilisant la lumière à haute densité : certains mystiques, soignant, religieux. Le frère André en est un bon exemple à Montréal (il y en a plein d’autres mais je n’ai pas une bonne culture religieuse ! L’énergie de la chapelle du frère André à Montréal m’avait frappé fortement)

L’écueil d’une vie en excès de foi : humainement on se fait chier. Pas assez excitant, pas assez de jouissance de sa vie. Pas assez passionné-e. Matériellement pauvre. Déni des résultats de ses efforts et de son travail (« mon talent est un don, je n’ai aucun mérite »)

L’écueil d’une vie en excès de feu : humainement c’est éreintant. On doit obligatoirement conquérir notre vie pour la vivre. Déconnexion de ce qui nous dépasse, nourrit, fait grandir d’une autre manière.

Le kiff d’une vie avec du feu : passion, jouissance, intensité, développement de ses talents et compétences, pouvoir sur notre vie humaine et matérielle.
Des talents sur-humains se construisent avec, certains pouvant dépasser les livres de médecine (yogis, Wim Hof et le contrôle conscient de son système endocrinien et immunitaire)
La notion d’obstacle n’existe pas : c’est un jeu, un challenge.

Le kiff d’une vie avec de la foi : jamais seul, éclairage peu importe le niveau d’obscurité, des « miracles » du quotidien (situations improbables qui une fois racontée sont peu ou pas crues : exemple un mec qui avait perdu la moitié de sa hanche avec une maladie, et elle s’est mise à repousser alors que c’est impossible, cas médical attesté raconté dans le bouquin « l’Univers est un hologramme » de Michael Talbot)
La notion d’obstacle n’existe pas : il n’y a rien devant qui bloque notre chemin.

Que le feu et on laisse notre vie trop reposer sur notre partie humaine.
Que la foi et on laisse notre vie trop reposer sur notre partie absolue.

L’équilibre des deux est un art de toute la vie.
Nous avons des phases d’approfondissement de l’un, puis de l’autre, et d’intégration des deux. Intégration des deux qui se fait plus d’un côté que de l’autre, puis intégration plus équilibrée.

Au début de notre vie on muscle plus l’un que l’autre.
Nous sommes obligés si on veut vivre une vie resplendissante d’aller chercher l’autre côté plus consciemment.

Vous me direz comment ce post atterrit chez vous, je suis preneur.
Cheers,